top of page


Coulisses PYL (Reportage)


Springsioux (Fashion)


MBC (Reportage)
L’Écho du Show
Au cœur du Salon Mondial de la Coiffure (MBC), entre l’ombre et la scène, bien avant que les projecteurs n’illuminent les corps et les coiffures comme des œuvres d’art, il y a les loges, l’attente, et un ballet invisible qui donne naissance au show.
Le MBC est un événement professionnel incontournable dans le secteur de la coiffure et de la beauté.
Il se déroule tous les ans au Parc Des Expositions à Paris et accueille environ 47 000 visiteurs professionnels venant de 84 pays.
Il s'agit d'une véritable vitrine internationale.
Mon regard s’est posé sur les performers de ce spectacle : dans l’intimité des coulisses, dans l’ombre des loges, au cœur des répétitions, puis enfin sous les lumières du spectacle.
Cette série d’images immersives explore une collaboration entre deux arts : la danse et la coiffure.
Elle met en lumière le travail d’artisans et d’artistes, dont les univers se rencontrent pour créer un tableau vivant.
Ensemble, ils s’unissent pour un instant suspendu, une fresque éphémère offerte au public.
J’ai voulu dévoiler ce qui échappe au spectateur : le trac, les regards partagés dans le silence, les corps tendus vers le mouvement parfait, les tensions et les gestes encore hésitants, les souffles avant l’élan.
Que ressent-on avant que tout ne bascule sous les projecteurs ?
Ces moments capturés rendent hommage à l’effort partagé et à la beauté de l’inachevé, où force et vulnérabilité se mêlent.
Ce chaos beau et fragile de la création qui dessine une mosaïque vibrante de ce que signifie « performer ».
Au cœur du Salon Mondial de la Coiffure (MBC), entre l’ombre et la scène, bien avant que les projecteurs n’illuminent les corps et les coiffures comme des œuvres d’art, il y a les loges, l’attente, et un ballet invisible qui donne naissance au show.
Le MBC est un événement professionnel incontournable dans le secteur de la coiffure et de la beauté.
Il se déroule tous les ans au Parc Des Expositions à Paris et accueille environ 47 000 visiteurs professionnels venant de 84 pays.
Il s'agit d'une véritable vitrine internationale.
Mon regard s’est posé sur les performers de ce spectacle : dans l’intimité des coulisses, dans l’ombre des loges, au cœur des répétitions, puis enfin sous les lumières du spectacle.
Cette série d’images immersives explore une collaboration entre deux arts : la danse et la coiffure.
Elle met en lumière le travail d’artisans et d’artistes, dont les univers se rencontrent pour créer un tableau vivant.
Ensemble, ils s’unissent pour un instant suspendu, une fresque éphémère offerte au public.
J’ai voulu dévoiler ce qui échappe au spectateur : le trac, les regards partagés dans le silence, les corps tendus vers le mouvement parfait, les tensions et les gestes encore hésitants, les souffles avant l’élan.
Que ressent-on avant que tout ne bascule sous les projecteurs ?
Ces moments capturés rendent hommage à l’effort partagé et à la beauté de l’inachevé, où force et vulnérabilité se mêlent.
Ce chaos beau et fragile de la création qui dessine une mosaïque vibrante de ce que signifie « performer ».


Blackmoon (Fashion Portrait)


Fourrure sur les Quais de Seine (Fashion Portrait)


Maison Chardon (Fashion & Film)


Ophélie Ah-Kouen (Portrait)


Chrys Anthelme (Fashion Story & Film)


Haven Of Melancholic Fairies (Editorial Story)


Corps Brute (Reportage)
Julia est danseuse et professeure de Floorwork, une discipline qui se base sur l’approche du sol et la gravité.
Initialement introduit dans la danse moderne et contemporaine par des pionniers tels que Martha Graham, le Floorwork s'est progressivement imposé dans d’autres disciplines telles que le heels, les danses urbaines et la pole dance.
Aujourd’hui, il est reconnu comme une discipline à part entière, de plus en plus présente dans les écoles de danse.
La pratique du sol exige la contorsion des articulations et des impacts sur des zones douloureuses.
La beauté du geste coexiste avec la souffrance inhérente à cette pratique.
Dans cette série de 25 photos, j’explore le paradoxe entre la grâce de cet art et ces corps brutalisés.
J’ai travaillé les rythmes et les compositions comme une chorégraphie visuelle. Les images se répondent par des rimes graphiques, alternant entre des poses maîtrisées, presque sculpturales, et des instants de chute, de déséquilibre. Cette oscillation reflète la tension constante entre la maîtrise et l’abandon.
Derrière la fluidité apparente des mouvements, comment percevoir les sacrifices invisibles et la résilience silencieuse ? Le corps, instrument de beauté, peut-il également témoigner de ses propres limites ?


Unsorted Studio


Jack Mizrahi Gucci Ball (Reportage)


Campbell Family's (Self Portrait)


Passion Pedro (Fashion Story & Film)
bottom of page
